La base de données recueille les noms des personnes qui ont appartenu à l’armée de la République pendant la guerre civile espagnole, ont été à l’origine du droit de recevoir une pension en cas de décès, de disparition ou d’inutilité. Outre le nom, la ou les professions déclarées apparaissent ainsi que les données de localisation du document dont l’information a été extraite et de la documentation complémentaire. Si vous souhaitez reproduire le document, vous pouvez utiliser le formulaire qui apparaît dans la dernière colonne de la réponse à chaque requête formulée.
Archives de catégorie : Espagne
SIDBRINT: Mémoire historique et Brigades Internationales
SIDBRINT (Système d’information numérique sur les Brigades internationales) est un site Web
de l’Université de Barcelone qui traite de la récupération de la mémoire historique des Brigades internationales.Son objectif est de donner de la visibilité aux volontaires internationaux venus défendre la République. Pour cette raison, trois bases de données connexes ont été créées : une pour les brigadiers, une pour les sources documentaires et une pour l’encadrement militaire.
Archives des Brigades Internationales
Le fonds 545 des archives du RGASPI regroupe six sous-fonds aux contenus très différents. Les trois premiers rassemblent la production administrative, politique et militaire des Brigades internationales entre 1936 et 1939. Le quatrième concerne les ex-brigadistes et les étrangers venus d’Espagne internés à partir de 1939 dans les camps français. Le cinquième est un corpus photographique. Le sixième, le plus volumineux, rassemble les dossiers individuels des volontaires et le fruit d’une large enquête sur les étrangers ayant été en Espagne pendant la guerre civile. En somme, il s’agit de plus de 3 325 dossiers, dont la taille varie du feuillet à plusieurs milliers de pages
Inventaire des microfilms du fonds« Brigades internationales » du RGASPI dont volontaires Français – 1936-1939 Espagne
Mémorial du camp d’Argelès-sur-Mer
Entre le mois de février 1939 et le début de l’année 1942, plus de 160.000 hommes, femmes et enfants vont passer par le camp d’Argelès-sur-Mer. Ce sont majoritairement des réfugiés espagnols mais aussi des anciens des brigades internationales, des nomades français ou des réfugiés de l’Est de l’Europe dont des juifs étrangers
Espagnols déportés dans les camps de concentration nazis (1940-1945)
Cette base de données rassemble essentiellement le contenu de la publication Libro Memorial. Españoles deportados a los campos nazis , publié par le ministère de la Culture d’Espagne en 2006
Archives Nationales – Les réfugiés en France à la suite de la Guerre civile espagnole (1936-1940)
Pour une recherche générale sur l’immigration espagnole pendant le conflit et la politique menée par le gouvernement français, Les réfugiés en France à la suite de la Guerre civile espagnole (1936-1940), une fiche d’aide très complète élaborée par les Archives nationales
RETIRADA – Internés des camps des Pyrénées-Orientales (1939-1942)
En janvier et février 1939, les Pyrénées-Orientales ont connu une arrivée massive de réfugiés espagnols, fuyant la guerre et le franquisme. Des camps ont été mis en place qui ont été réutilisés durant la seconde guerre mondiale pour interner les populations jugées indésirables.
Aucune donnée nominative n’est conservée pour la période de la Retirada et des premiers mois ayant suivi l’entrée en France des réfugiés espagnols.
Toutefois, pour la période de septembre 1939 à novembre 1942, les Archives départementales conservent certaines données nominatives, permettant la recherche d’in
RETIRADA – Listes et fiches individuelles de réfugiés espagnols internés dans les camps de Bram, Couiza et Montolieu ;
Listes et fiches individuelles de réfugiés espagnols internés dans les camps de Bram, Couiza et Montolieu
A partir du mois de janvier 1939, plus de 450 000 Espagnols, hommes, femmes et enfants, franchissent la frontière dans le froid, la pluie et la neige, fuyant le fascisme et la guerre civile qui déchire leur pays depuis l’été 1936, pour venir trouver refuge en France. Ils y sont internés dans des camps de fortune, organisés à la hâte par les pouvoirs publics français.