
Archives Nationales – Demandes et dossiers de recours en grâce des condamnés des commissions mixtes de 185
Archives Nationales – Demandes et dossiers de recours en grâce des condamnés des commissions mixtes de 185
La version en ligne du Mémorial de la Déportation des Juifs de France consiste en un site internet bilingue (français/anglais) d’accès libre, doté d’un moteur de recherche interactif. Ce site permet des recherches croisées sur tous les champs. Construit sur la base du dernier Mémorial publié par Serge Klarsfeld en 2012, et mis à jour périodiquement, il apporte de nouveaux compléments, corrections et références vers d’autres ressources en ligne. Cliquez ici pour entamer une recherche.
Les dossiers individuels des résistants, internés et déportés ayant obtenus la mention « Mort pour la France et les dossiers individuels des « personnes déplacées » au cours de la Seconde Guerre mondiale, à savoir les déportés, les prisonniers de guerre, les requis au titre du Service du Travail Obligatoire en Allemagne sont conservés par le Ministère de la Défense à Caen
l’organisation Kamp Westerbork a permis à JewishGen d’ajouter plus de 101 500 enregistrements à la base de données sur l’Holocauste JewishGen. Les documents sources originaux proviennent de l’Oorlogsarchief Rode Kruis, du NIOD, du Stadsarchief Amsterdam, du Stadsarchief Rotterdam, de Drents Archief et de Gemeente Midden-Drenthe, ainsi que d’autres archives locales et régionales.
Présentation des fonds
Ce formulaire vous permet d’accéder aux registres d’écrou des XIXe et XXe siècles. Ils consignent les dates d’entrée et de sortie des prisonniers (condamnés ou simple détenus) ainsi que le motif de l’incarcération.
Archives de Paris – Prisons de Paris et de l’ancien département de la Seine (Répertoire de fonds conservés) – 1800-1940
Camps et prisons en France (1939-1945) : Documents d’origines diverses, conservés au PAVCC
Microfilms 737Mi aux Archives nationales
Notice
Liste des personnes des deux sexes : arrêtés et détenues dans les différentes prisons de Paris ; tant pour crimes de conspiration, que pour vols faits aux Tuileries, dans la journée du 10 août 1792, jusqu’au 2 septembre ; avec la date de leur emprisonnement ; une partie des détails de leurs professions, les sortes de vols qu’ils ont commis ; les noms des commisaires [sic], juges de paix et autres personnes qui les ont fait conduire ès-dites prisons, et de ceux qui ont été mis en liberté ; terminée par une liste générale de tous les Suisses qui ont survecu à la journée du 10 ; leur âges ; les différens grades qu’ils occupoient dans ce corps, et leurs années de service ; ouvrage soigné avec le plus grande exactitude
Le château fort de Sedan, le plus grand d’Europe et vestige du moyen âge, a été transformé à la fin de la guerre par les Allemands en camp d’internement pour les civils. Dans les Ardennes et en Belgique occupée, les Allemands mettent rapidement en place des bataillons de travail. Certains civils, de 14 à 60 ans, sont ainsi réquisitionnés de force. Pour les récalcitrants, l’occupant installe en janvier 1917 une vaste prison au sommet de la citadelle, un camp dans l’enceinte du château fort, un camp rapidement surnommé « le bagne » par la population
Liste des prisonniers du Bagne de Sedan 1917-1918
Liste des prisonniers du Bagne de Sedan de juin à décembre 1917
AD RHONE – Prisons et prisonniers dans le Rhône – an VIII-1940
CICR Otages et détenus politiques – 1939-1952
Le portail de la bibliothèque numérique de l’Énap (Agen – France) permet de découvrir des ressources numériques rares ou précieuses sur l’histoire des peines et des crimes : livres, articles de revues, photographies, plans, gravures… Au total, ce sont plus de 36 500 documents du 17e au 20e siècles qui sont accessibles en quelques clics.
3e, 4e et 5e départs. Liste générale des prisonniers transférés. Leurs noms, prénoms, âge, professions et lieux de naissance
Louis Dominique Garthausen, dit Cartouche (aussi appelé Bourguignon, Petit ou Lamarre), né en 1693 et mort le 28 novembre 1721, est un brigand puis un chef de bande ayant surtout sévi à Paris, durant la Régence de Philippe d’Orléans.
Arrêté et condamné à mort, à la suite de la dénonciation de l’un de ses comparses, il est soumis à la question, mais garde alors le silence. Il meurt roué en Place de Grève, en ayant pu bénéficier d’un retentum. Cette exécution sera suivie de l’arrestation de quelques centaines de complices supposés, dont plus de soixante-dix seront condamnés à mort – par le moyen de la roue ou par pendaison –, de la fin de l’année 1721 et jusqu’en 1723 au moins ; d’autres seront condamnés aux galères, au bannissement ou à l’internement.
Affaires judiciaires. liste des accusés, renseignements sur chacun d’eux ; correspondance administrative et judiciaire.
Date d’édition : 1721-1724
Ce recensement des relégués internés au pénitencier de Saint-Jean-du-Maroni en Guyane française repose sur le dépouillement des registres d’écrou de la relégation conservés aux Archives nationales d’outre-mer. Ces registres indiquent les entrées de tous les relégués enregistrés à leur arrivée à Saint-Jean-du-Maroni. Ces registres ne recensent donc pas le nombre de condamnations à la relégation prononcées par les tribunaux mais uniquement les arrivées à Saint-Jean-du-Maroni de tous les individus condamnés à la relégation. Ils prennent en compte les relégués métropolitains ou des colonies débarqués au bagne guyanais ainsi que les transportés condamnés également à la relégation et les libérés du bagne ou civils présents sur le territoire guyanais condamnés à la relégation.
Ce recensement de détenus de la prison de Bicêtre porte sur une catégorie particulière de prisonniers : les détenus incarcérés non pas en vertu d’une condamnation judiciaire mais par ordre d’une autorité administrative, principalement la Préfecture de Police de Paris, dans la tradition ancienne des lettres de cachet
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Aux lendemains des journées de Juin 1848, les dirigeants de la IIe République sont confrontés à l’organisation de la répression de l’insurrection. Plusieurs milliers d’insurgés sont alors désignés pour être soumis à une transportation outre-mer.