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L’Alsace-Lorraine fut cédée par la France, à l’Allemagne, par le traité de Francfort du 10 mai 1871 consécutif à la défaite française. Les Alsaciens et les Lorrains, nés dans ces territoires (y étant domiciliés ou non), eurent à opter pour la France ou pour l’Allemagne. Avant le 1er octobre 1872 pour ceux résidant en Europe, et avant le 1er octobre 1873 pour ceux résidant hors d’Europe. Ce projet vise à numériser, puis indexer, les feuilles manuscrites d’option conservées aux Archives nationales.
Etat nominatif des malades de l’Hôpital civil de Belfort venant d’Alsace évacués (1939-1940)
Archives 11 R 24 (AD Belfort)
Le numéro allemand Feldpost (FPN) (allemand : Feldpostnummer ) était une sorte de code postal utilisé pour les courriers envoyés par courrier militaire ou par avion . Chaque unité avait son propre code.
Continuer la lectureCe guide est destiné à tous ceux qui souhaitent entreprendre des recherches sur le parcours militaire ou les circonstances de décès d’un incorporé de force, décédé, porté disparu, ou rapatrié à l’issue du second conflit mondial.
Il rassemble et décrit en détail l’ensemble des sources d’informations disponibles en France, en Allemagne et en Russie et propose une stratégie de recherche.
Coordonné par Robert Gérard Lacau, fils d’un Malgré-nous décédé en Roumanie, il se veut un outil de recherche pratique, basé sur l’expérience.
Après la fin de la seconde guerre mondiale, le Ministère des Prisonniers, Déportés et Réfugiés établit pour l’Alsace et la Moselle une liste des soldats « non-rentrés ». La liste mosellane, en date du 1er avril 1946 compte 11 986 noms
L’instrument de recherche n° 9 du fonds d’archives n° 458 du RGASPI est une collection de dossiers provenant des archives gouvernementales et étatiques d’Allemagne, d’Autriche, de France et de Pologne et couvrant la période de 1912 à 1945. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, ces documents ont été transportés d’Allemagne en URSS et dans les années 1940-1960, ils ont été transférés aux archives centrales du Parti de l’Institut pour le marxisme-léninisme du Comité central (ZK) du Parti communiste. de l’Union soviétique (PCUS), aujourd’hui les Archives d’État russes pour l’histoire socio-politique (RGASPI) ont été remises. Jusqu’à présent, les documents pertinents étaient conservés dans les Archives spéciales d’État de l’Administration centrale des archives du Conseil des ministres de l’URSS,
Continuer la lectureDans les années 1960, les stocks de trophées allemands des forces armées soviétiques étaient enregistrés et stockés de manière centralisée dans les archives centrales du ministère de la Défense de l’Union soviétique (CAMO). Les fonds connus comprennent actuellement 50 instruments de recherche dans lesquels sont résumés environ 28 000 dossiers contenant environ 2 à 2,5 millions de feuilles. Les Archives centrales du ministère de la Défense de la Fédération de Russie, la Société historique de Russie et le DHI Moscou numérisent actuellement cet inventaire, qui est probablement le dernier qui n’a pas été accessible à la recherche sur la Seconde Guerre mondiale, et réalisent le matériel numérisé correspondant. accessible en ligne à la recherche et au public gratuitement et sans restriction. Le projet devrait être achevé d’ici 2018.
Continuer la lectureLa collection « Documents allemands sur la Première Guerre mondiale » (inventaire 500, instrument de recherche 12519) a été remise aux Archives centrales du ministère de la Défense de la Fédération de Russie (CAMO) entre 1953 et 1961 par l’administration des sciences militaires de l’Union soviétique. Ministère de la Défense et état-major général des forces armées de l’URSS.
La collection comprend 36 000 feuilles provenant des dossiers du grand état-major général, du commandement suprême de l’armée, des états-majors de divers niveaux de commandement, des associations et unités de troupes, du ministère prussien de la guerre, du ministère de l’Intérieur du Reich, du ministère des Affaires étrangères et d’autres autorités. Cela comprend, entre autres, les commandes, les commandes, la correspondance et d’autres documents et publications, dont la plupart datent de la période 1910 à 1919.
Continuer la lectureListe des postes d’officiers dans le haut commandement de la Wehrmacht, le haut commandement de l’armée, les groupes d’armées, le haut commandement de l’armée, les commandements supérieurs, les commandements généraux de la Wehrmacht et les commandants militaires, les divisions d’infanterie et de chars, le commandements de forteresse, les commandants d’artillerie des troupes du corps.
Bulletins du Cercle généalogique d’Alsace – (1968 – 2015)
45 années disponibles – 141 numéros
Fiche d’aide à la recherche
Lorsque l’Alsace-Moselle fut cédée à l’Allemagne le 10 mai 1871 par le traité de Francfort, les personnes nées sur le territoire annexé par l’Empire allemand (le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, la Moselle, ainsi qu’un tiers de la Meurthe -Château-Salins et Sarrebourg- et deux cantons des Vosges), eurent la possibilité d’opter soit pour la nationalité française soit pour la nationalité allemande. Ce choix devait être fait avant le 1er octobre 1872 pour les résidents européens, et avant le 1er octobre 1873 pour les résidents hors d’Europe.
Les Alsaciens-Lorrains domiciliés dans les territoires cédés n’avaient aucune déclaration à faire auprès des autorités françaises pour perdre leur nationalité française. Restait le cas des Alsaciens- Lorrains qui ne résidaient pas dans les territoires cédés, à l’époque de l’annexion. Ceux-là eurent la faculté d’opter pour la nationalité française ou la nationalité allemande auprès de la mairie de leur résidence. Le présent répertoire concerne ces Alsaciens-Lorrains, qui ne résidaient pas dans les territoires cédés et qui optèrent pour la nationalité allemande.
Alsaciens-Lorrains ayant opté
pour la nationalité allemande
(1872-1873)
BB/31/508 à 510, BB/31/531
Geneawiki : Les optants
Dans le prolongement de l’ouverture du Mémorial de l’Alsace-Moselle en 2005, les grandes collectivités alsaciennes ont lancé une politique mémorielle ambitieuse visant notamment à recenser l’ensemble des victimes alsaciennes de la Seconde Guerre mondiale. Cette ambition se manifeste concrètement par la mise à disposition du public d’une base de données nominative reprenant les noms de ces victimes et les informations relatives à leur parcours.