Réseau de résistance Sylvestre-Farmer, actif de 1942 à 1945 dans le Nord-Pas de Calais.
Liste de noms de membres du réseau Sylvestre-Farmer
Liste – Liste de noms de membres du réseau Sylvestre-Farmer région 4 reconnus comme agent P1
Réseau de résistance Sylvestre-Farmer, actif de 1942 à 1945 dans le Nord-Pas de Calais.
Liste de noms de membres du réseau Sylvestre-Farmer
Liste – Liste de noms de membres du réseau Sylvestre-Farmer région 4 reconnus comme agent P1
Cette liste, établie par la BDIC de Nanterre pour l’étude de ses archives propres corrigée par M. Pierre Mallez et organisée pour permettre les tris, comprend près de 10.000 noms de membres de Vengeance ou de mouvements associés.
Source: chantran.vengeance.free.fr
Ces archives comportent, d’une part, des rapports des missions et des actions militaires de ce réseau soutenu par d’autres mouvements : Ceux de la Libération, Ceux de la Résistance, Front National, FFI, Libération Nord pour ne citer que ceux-là ; d’autre part, elles rassemblent des actes de collaboration avec la Milice ou avec l’occupant allemand. Ces archives nous dévoilent une vision intérieure de ce que pouvait être la vie du réseau Turma-Vengeance
jusqu’à la Libération et après la guerre.
Jade est un réseau créé par l’Intelligence Service britannique à la fin 1940, et qui devient opérationnel quand son premier responsable, le Parisien Claude Lamirault parti à Londres en octobre, est parachuté en France, dans la nuit du 11 au 12 janvier 1941.
Les notices biographiques présentes sur ce site concernent les résistants ayant agi clandestinement ou ayant combattu dans l’arrondissement de Brest. Figurent également les résistants exécutés dans la cité du Ponant. Qu’importe leurs origines géographiques, seules les actions comptent. Ne figurent pas sur ce site, pour le moment, les Français libres originaires du pays de Brest ni les résistants originaires de Brest mais ayant agi hors de ce secteur géographique.
Guide des maquis et hauts-lieux de la Résistance en Bretagne
Via Gallica (lien de secours)
Guide des maquis et hauts-lieux de la Résistance d’Auvergne
Il s’est passé, ici, un épisode trop méconnu, mais très héroïque, de la Résistance française. Ainsi s’exprimait, le 5 juin 1959, le général de Gaulle au pied du monument national du mont Mouchet, un des hauts lieux de la Résistance. L’Auvergne fut, en effet, comme le Vercors, un des bastions privilégiés de la lutte du peuple français contre l’occupant. Gilles Lévy, l’auteur de À nous Auvergne !, nous propose dans ce guide — à travers l’Allier, le Puy-de-Dôme, le Cantal, la Haute-Loire — 16 circuits des pierres souvenirs dispersées au bord des routes, dans les bois, au coin des rues, aussi dans les cimetières. Ils font découvrir aux, promeneurs et aux jeunes générations curieuses de leur passé, cette armée des ombres qui, aux pires moments de notre humiliante défaite, prit les armes pour la liberté de tous. 16 circuits, clairs, précis, illustrés de cartes et de photographies, chaque halte faisant l’objet de commentaires concis, qui fournissent l’essentiel de ce que chaque visiteur peut souhaiter connaître. Tout en parcourant les sites grandioses et les magnifiques paysages de cette belle province qui, de Vercingétorix aux glorieux maquisards du mont Mouchet, a toujours été et entend demeurer terre de liberté, on marche dans les pas de ceux qui sont tombés au combat, dans les prisons ou les salles de torture, de tous ceux qui ont subi le martyre infligé par l’occupation nazie aux populations de cette si attachante région.
Liste des membres des Forces françaises libres
(18 juin 1940 – 31 juillet 1943)