Etat nominatif des militaires appartenant au 14e bataillon de la garde nationale mobile, tués, blessés ou faits prisonniers de guerre au Bourget pendant les journées des 28, 29 et 30 octobre 1870

Les Archives de Paris conservent dans le fonds des «  Faits de guerre » de l’administration communale, coté VH4, un état nominatif des militaires appartenant au 14e bataillon de la garde nationale mobile, tués, blessés ou faits prisonniers de guerre au Bourget pendant les journées des 28, 29 et 30 octobre 1870. Cette liste, qui ne comprend pas moins de 7 feuillets, permet de saisir l’ampleur numéraire du phénomène.

Garde nationale mobile, 14e bataillon, état nominatif des militaires tués, blessés ou faits prisonniers de guerre au Bourget pendant les journées des 28, 29 et 30 octobre 1870, (pages 1-2). Archives de Paris, VH4 2.

Garde nationale mobile, 14e bataillon, état nominatif des militaires tués, blessés ou faits prisonniers de guerre au Bourget pendant les journées des 28, 29 et 30 octobre 1870 (pages 3-4). Archives de Paris, VH4 2.

Garde nationale mobile, 14e bataillon, état nominatif des militaires tués, blessés ou faits prisonniers de guerre au Bourget pendant les journées des 28, 29 et 30 octobre 1870 (pages 5-6). Archives de Paris, VH4 2.

Mise en ligne du Fichier des ecclésiastiques (Troisième République)

Mise en ligne du Fichier des ecclésiastiques (Troisième République) : ce fichier numérisé d’environ 80 000 fiches individuelles répertorient, par diocèse, les ecclésiastiques rémunérés par l’État. Les fiches comportent l’identité des individus, leurs postes ainsi que des renseignements sur leur carrière et les relations avec les autorités.
Les données feront l’objet d’un projet d’indexation.

Votre aïeul a été fait prisonnier pendant la première guerre mondiale : Consultez le CICR

Durant la Première Guerre mondiale, des millions de personnes, militaires et civils, furent capturées et internées dans des camps de détention. Les Etats en guerre adressèrent au Comité international de la Croix-Rouge (CICR) des listes de prisonniers. Il est possible de consulter ces informations en ligne.

http://grandeguerre.icrc.org/fr

Si vous souhaitez apprendre à utiliser la base vous pouvez suivre ce tutoriel élaboré par généalomaniac en 2020

Votre aïeul a été blessé : Contactez le SAMHA (Service des archives médicales et hospitalières des Armées)

Le Service des archives médicales et hospitalières des Armées (SAMHA) basé à Limoges conserve les archives médicales produites par les hôpitaux et formations sanitaires et militaires ayant fonctionné en France et dans les anciennes colonies. Le fonds conservé pour la Première Guerre mondiale des archives des postes de secours régimentaires aux hôpitaux de l’intérieur, en passant par les hôpitaux d’orientation et d’évacuation (HOE), représente près de 6 kilomètres linéaires de documents.

Pour effectuer une recherche, vous pouvez contacter directement ce service à l’adresse suivante :

Service des archives médicales hospitalières des Armées – 23 rue de Châteauroux – B.P. 21105 – 87052 Limoges Cedex 2
Tél. : 05 55 12 12 40 ; télécopie : 05 55 77 51 76
Courriel : exploitation.samha@orange.fr ou samha@orange.fr

samha-dept-exp.chercheur.fct@intradef.gouv.fr

votre demande accompagnée de :

  • la fiche matricule de ce soldat (archives départementales du lieu de naissance ou de recrutement). Indispensable à ce service pour entreprendre des recherches.
  • votre adresse postale.
  • pour respecter les règles et la législation en vigueur régissant la communication de document à caractère médical, faire parvenir la preuve de son décès et, si ce dernier date de moins de 25 ans, des justificatifs de lien de parenté ainsi que la copie recto verso de votre carte nationale d’identité.

Guide des sources de la Seconde Guerre mondiale dans l’Aisne

Vous trouverez ci-dessous un état des sources conservées aux Archives départementales de l’Aisne concernant la Seconde Guerre mondiale. Cet état des sources a été réalisé dans le cadre de la publication de l’ouvrage intitulé La Seconde Guerre mondiale : guide des sources conservées en France, 1939-1945, édité en 1994 par la Direction des Archives de France.

MAROC – Cimetières de Rabat et de Kénitra, registres des sépultures

L’entretien et la gestion des cimetières relèvent de la Commune mais le Consulat général s’est attaché depuis plusieurs années à la conservation des cimetières européens de sa circonscription. A ce titre, il finance l’entretien des parties communes des cimetières. Les cimetières français qui, depuis plusieurs décennies, n’étaient pas utilisés et dont les tombes subissaient d’importantes dégradations sans entretien régulier par les familles, ont été progressivement transférés et regroupés dans 7 caveaux construits pour cela dans les cimetières de Rabat et de Kénitra. Ces transferts ont été faits avec les autorisations administratives, après information par voie de presse, dans la dignité requise et chaque fois en présence des autorités consulaires. Outre les cimetières de Rabat et Kénitra, demeurent les cimetières de Salé (200 tombes) et de Souk el Arbaa (212 tombes).

Chacune des sépultures (10 815 en 2001) a fait l’objet d’un recensement, et peut être ainsi localisée à l’aide des registres ci-dessous.

Enfin, des cérémonies du souvenir ont lieu chaque année le 11 novembre sous l’égide de l’Ambassadeur de France et du Consul général aux cimetières de Rabat et de Kénitra.

Il convient de noter que l’entretien des sépultures privées ne relève pas de la compétence du Consulat général.

Consultation du registre des sépultures des cimetières de Rabat et de Kénitra :